Eden-Val Hopkins younger now than we were before
Messages : 221 Date d'inscription : 30/05/2013
| Sujet: "Je lui ai déclaré ma flamme. - Et ? - Elle avait un extincteur. " ( eden ) Jeu 30 Mai - 22:07 | |
| AVATARS Tearsflight
EDEN VALENTIN HOPKINS NOM + hopkins, c'es classe, on dirait un nom d'inspecteur de police PRÉNOMS + eden, comme le jardin d'eden oui, et valentin parce qu'évidemment il fallait que j'ai un peu de french dans mon nom, c'est pas comme si on allait me faire chier avec ma fête tous les 14 février pauvre garçon que je suis SURNOM(S) + bonjour, moi c'est eden, mais tu peux m'appeler corps de rêve, ou être le plus sexy de la planète t'as le choix babe DATE ET LIEU DE NAISSANCE + 10 mars 1991 à Londres, ville de la flotte ÂGE + 22 années d'âge réel, 8 ans d'âge mental, c'est la vie mon p'tit on est soit intelligent et moche soit beau et con on peut pas tout avoir ORIGINES + anglo-françaises, un mélange de baguette et de thé, bitch please SITUATION SOCIALE + assez de quoi se faire des pâtes presque tous les jours SITUATION CIVILE + célibataire, libre comme l'air. jeune homme sexy cherche femme avec l'option cuisine contactez le 06... ETUDES/MÉTIER + études de médecine because c'est la grande classe CÉLÉBRITÉ + hunter parrish - Citation :
- + Es-tu du genre chanceux/se ?
j'ai pas l'habitude de me plaindre, mais sérieux la chance, c'est un peu pour les naïfs. je pense que si tu fous rien de ta vie t'auras évidemment pas de chance, peut-être que tu le mérites pas simplement. ça doit être une question de karma, faudrait que j'en parle à mon astrologue personnel tiens. personnellement, ça dépend des jours. j'ai mes jours avec et mes jours sans. je m'implique pour arriver à mes fins et je ne prends jamais le risque de miser sur la chance. vous ne verrez jamais mon nom écrit sur un bulletin de lotto par exemple. + Psychologiquement, t'es comment ?
en général, ceux qui ne me connaissent pas intimement disent souvent que je suis macho, paresseux, anormal, immature, stupide et incompréhensif. C'est vrai, je ne prends pas toujours tout au sérieux et il m'arrive très souvent de déconner, de raconter n'importe quoi ou encore de me prendre pour un être supérieur qui mérite qu'on l'idolâtre. Cependant, je ne fais ça que pour m'amuser. Je ne suis pas prétentieux et encore moins égoïste, d'ailleurs je pense pouvoir dire avec certitude que je suis parfois un peu trop affectueux et généreux - sauf pour le fric -. Souvent, je me donne une image de beau parleur pour ne pas qu'on remarque ma sensibilité, je n'ai pas envie qu'on me prenne en pitié. Je veux qu'on me respecte wesh. Je ne donne pas facilement ma confiance, je suis certes très sociable mais rare sont les personnes qui me connaissent vraiment, de a à z tu vois. + + Quel est ton avis sur Adélaïde ?
Adélaïde, c'est juste une tuerie, le pied total. ici, t'as pas peur de finir avec un cancer des poumons à cause de toute la pollution des rues, ou encore de louper ton rendez-vous parce qu'il y a trop d'embouteillages sur la route. ici, il y a la plage, la mer, les glaces vanille-chocolat, les belles meufs en bikini humhum. franchement, je pense qu'emménager ici a été la meilleure idée que j'ai eu de toute ma vie. + Dans la vie de tous les jours, qu'est-ce que tu fais ?
en semaine, j'étudie pour pouvoir entrer en fac de médecine parce que ouais, je veux devenir chirurgien. ça peut devenir bizarre venant d'un mec qui passe sa vie dans son canapé à manger sans arrêt mais j'ai toujours été passionné par la médecine et tant pis si je dois passer par le stade piqûres sur les fesses des vieux. sinon pour gagner un peu de l'argent, je suis serveur le mercredi et le samedi dans un café, je gagne pas beaucoup vu que c'est qu'à mi-temps mais ça me suffit pour le moment. + Ta famille et toi, ça roule ?
hum, mouais, middle. il me reste pas beaucoup de famille en fait, j'ai juste une petite soeur qui est restée en angleterre. la famille, c'est un sujet assez délicat. je n'aime pas en parler alors chaque fois qu'on l'évoque je fais toujours en sorte de dévier le sujet. d'ailleurs, vous avez pas envie de sortir prendre l'air ? paraît qu'il y a un parc dans les environs, là-bas le ciel est encore plus bleu qu'ici. enfin je dis ça je dis rien. + Une phrase qui décrit ta vie ?
« Tomber est permis ; se relever est ordonné. » proverbe russe
write your story. 10 mars 2005
Je quittai le centre de désintox dans lequel ma mère avait été placée il y a d'ici quelques mois, les mains dans les poches de mon jeans. Je ne lui en voulais pas de ne pas s'être rappelée mon anniversaire. La pauvre, cela faisait trois ans que son compagnon l'avait quittée, trois ans qu'elle avait plongé et qu'elle ne s'était jamais relevée. Son compagnon n'était pas mon père qui, lui, avait succombé dans un accident de voiture quelques semaines après ma naissance, mais un crétin, un abruti fini qui était parti comme ça, sans laisser de mot, alors que ma mère était enceinte. Elle en avait été anéantie. Je venais d'avoir quinze ans, j'étais un gamin, pourtant c'était moi le responsable à la maison depuis que ma mère s'était faite internée. Les services sociaux ont voulu nous placer dans une famille d'accueil, mais j'ai refusé. J'avais quinze ans bon sang, pas huit, je pouvais m'occuper de moi-même et d'une gosse de trois ans qui voyait sa mère se détruire à petit feu sans comprendre quoi que ce soit. De retour à la maison, ma petite soeur Jill m'attendait dans son parc, les bras tendus dans ma direction. Je la portai et la serrai contre moi en me dirigeant vers la cuisine afin de me réchauffer ce qu'il restait de la veille dans le frigo. « J'ai vu maman aujourd'hui, elle m'a dit de te faire un gros bisou de sa part. » Tout ce qui Jill me répondit furent des petits mots par-ci par-là qu'elle n'arrivait pas à aligner afin de construire une phrase correcte. Je ne comprenais pas comment elle pouvait encore rire et sembler si apaisée avec tout ce qui se passait dans sa vie. Un père lâche, une mère à bout, et pour seule famille un ado boutonneux qui ne savait presque pas cuisiner. Jill plaqua ses petites mains aux doigts boudinés sur mes joues et posa sa tête contre la mienne. Elle faisait souvent ça quand elle ressentait le besoin d'exprimer son affection, c'est-à-dire presque tout le temps.
17 juillet 2005
Au collège, personne ne connaissait la situation dans laquelle je me trouvais. Je n'aimais pas en parler, alors je n'invitais jamais personne à la maison. Je m'occupais de Jill le matin, l'emmenais à la crèche la journée et allait le récupérer après les cours pour la ramener à la maison où à nouveau, je prenais soin d'elle. En cette belle journée ensoleillée, j'étais sorti avec ma petite soeur dans le jardin où je m'étais accroupi afin d'être à sa taille. Elle ne marchait toujours pas et se contentait de ramper partout. Elle agrippait mes index en marchant d'un pas maladroit entre les hautes herbes, toute souriante. « Yega'de Eyen, ye ma'che ! » m'a-t-elle dit en lâchant mes doigts en en commençant à faire quelques pas toute seule avant de tomber en avant. « Bravo Jill, t'es une grande fille maintenant ! » Je la pris dans mes bras et me laissai tomber sur le dos dans l'herbe, faisant planer au-dessus de moi ma soeur qui riait en imitant l'avion. Au même moment, la voisine, une vieille femme qui ne semblait pas beaucoup m'apprécier, passa devant chez nous et me toisa avec un regard mauvais. Je n'y prêtai pas longtemps attention et embrassai le front de Jill pour la féliciter d'avoir fait ses premiers pas.
18 juillet 2005 Quelqu'un toqua à la porte. Je me réveillai en sursaut et découvris que j'étais dans le canapé du salon, Jill couchée sur mon torse. Je bougeai ma petite soeur qui dormait toujours et me dirigeai d'un pas lent vers la porte d'entrée avant de l'ouvrir et de découvrir une femme vêtue d'un tailleur et d'une jupe cintrée. « Services sociaux, je suis là pour la petite Jill. » « Quoi ?! Mais... Je m'occupe d'elle... » Je n'eus pas le temps de répondre qu'elle entra dans la maison et une fois qu'elle eut aperçu Jill, s'approcha d'elle afin de la prendre. Je m'interposai entre elles. « Si vous touchez à un seul de ses cheveux, je vous... je vous... perce un oeil ! » « Excuse-moi, mais on m'a appelée hier soir et on m'a expliqué votre situation, vous ne pouvez plus vivre ainsi. Tu n'as pas de famille chez qui aller ? » La voisine, cette sorcière. Je pris Jill qui se réveilla et reculai. « Non, elle n'a que moi, je n'ai qu'elle, partez. » Mais elle persista. Elle me pris Jill des mains, ce qui eut pour effet de la faire pleurer à chaudes larmes. Elle se mit à gesticuler dans tous les sens, les bras tendus vers moi. « Eyen, Eyen ! » criait-elle. Je ne pouvais rien faire. Je restai debout, immobile, à regarder cette femme me voler ma petite soeur. « Je repasserai dans l'après-midi. » Je ne l'écoutais pas, ou plutôt je ne l'entendais pas. Je me fichais de ce qu'elle pouvait bien raconter. Me voilà à présent seul, abandonné, comme l'avait été ma mère. Je comprenais à présent pourquoi elle était devenue folle.
20 octobre 2008
Je vivais à présent dans une famille d'accueil, loin de Jill. Je n'avais aucune idée de l'endroit ou elle se trouvait et cela faisait déjà trois ans que je ne l'avais plus vue. Assis sur un muret à la sortie du lycée, je regardais les voitures passer en fumant ma clope. De ma main libre, je serrais mon portable contre mon oreille sans savoir quoi répondre à cette infirmière qui m'annonçait que ma mère venait de mourir. Je raccrochai, tout simplement. Quelqu'un vint s'asseoir à coté de moi mais je n'y prêtai pas attention. J'étais perdu dans mes pensées, le regard vide. « T'as pas l'air bien. » Ce fut la première fois qu'elle m'adressa la parole. Je venais de rencontrer April, ma future meilleure amie. Elle était blonde, avec un air rebelle qui lui allait plutôt bien. Très sexy. Je ne sais plus comment on est arrivés à se parler sans pause pendant des heures, c'est venu tellement rapidement, d'une manière imprévisible. April était amusante, franche, intrigante, elle parlait beaucoup sans en dire trop. À mes dix-neufs ans, j'ai quitté ma famille d'accueil et on a emménagé elle et moi dans un petit appart en tant que colocataires. On se marrait bien, on regardait des films tous les soirs, on commandait des pizzas, on faisait des batailles de coussins jusqu'à quatre heures du mat', jusqu'à ce que...
12 février 2013
J'insérai ma clé dans la serrure, fatigué d'avoir bossé toute la journée au café. En entrant dans l'appart, je le découvris complètement en bordel, comme si une tornade avait tout ravagé. Je me dirigeai vers la chambre d'April pour l'engueuler un coup et en passant le pas de sa porte, je fus surpris de voir qu'elle n'était pas seule. Un garçon que je ne connaissais pas la bécotait tranquillement, une main sous son soutif. Je toussotai et il se redressa en sursaut. « Eden ? T'es déjà là ? » Quelque chose en moi s'est brisé à ce moment-là. Je me suis senti trahi, sans comprendre pourquoi cette situation me mettait tellement en colère. La fatigue sûrement. Je fis demi-tour et april me suivi. « Eden, attends, c'est pas ce que tu crois ! » « On avait dit qu'on ramenait personne April ! » Elle me prit le poignet et m'obligea à lui faire face, toujours en sous-vêtements. Je m'en fichais, je l'avais déjà vue comme ça des centaines de fois. « Je sais mais... » « T'as aucun respect sérieux, t'es qu'une sale égoïste ! » « Et toi t'es jaloux c'est tout ! » Je ne répondis pas. Elle avait en partie raison, j'en voulais à ce mec d'avoir tripoté ma meilleure amie dans mon propre appart. Des larmes embuèrent les yeux de April qui se rapprocha de moi. « Eden, excuse-moi... » Je la repoussai. « Je me casse. » « Quoi ? Comment ça ? » J'avais mal au coeur de la voir ainsi, je voulais la prendre dans mes bras et caresser ses cheveux comme je le faisais à chaque fois qu'elle n'était pas bien, mais j'étais trop énervé contre elle. « T'as bien compris, je m'en vais, j'en ai marre de toi je vais vivre ailleurs. » « Me fais pas ça ! » « Trop tard, je vais chercher ma valise, je pars en Australie, loin de toi. » « T'as pas le droit ! » Je préparais mes affaires pendant qu'elle retenait ses larmes, suivant du regard chacun de mes gestes. « Reste... » C'était trop tard, j'avais déjà franchi le seuil de la porte.
behind the computer. | PSEUDO/PRÉNOM + goinfrex le kleenex ÂGE + quinze jaar old ( français - néerlandais - anglais je gère la fougère ) COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? + c'est mon grand-père qui me l'a montré QU'EN PENSEZ VOUS ? + il est assez sexy omhmygad ces couleurs je craque attirant FRÉQUENCE DE CONNEXION + ça varie, environ 5/7 AUTRE CHOSE ? + bonsoiiir, il est minuit et je poste ma présentation, normal quoi, d'où la raison du pourquoi de tant de conneries dans cette dernière. je suis bientôt en exam en fait, mais je voulais pas qu'on pique Hunterichou alors je me suis quand même inscrite - trop d'impatience chou - sauf que je viendrai pas des masses vu que je dois bosser. enfin logiquement je ferai la fin demain vu que c'est vendredi et que le vendredi c'est jour de repos, ameeen. bénissez le vendredi ! j'arrête de m'étaler |
Dernière édition par Eden-Val Hopkins le Ven 31 Mai - 22:37, édité 4 fois |
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E. "Ziggy" Weaver THERE'S NOTHING LIKE YOU AND ME, TOGETHER Messages : 282 Crédits : frenchaddicted. Date d'inscription : 20/04/2013
| Sujet: Re: "Je lui ai déclaré ma flamme. - Et ? - Elle avait un extincteur. " ( eden ) Ven 31 Mai - 22:38 | |
| JE SUIS VENU, J'AI VU, J'AI VAINCU et une fiche de validée, une WESH POTO. Déjà Hunter est trooooop sexy sa race de quiche. Sinon, j'aime bien ta façon d'écrire, elle fait trop kiffer. Tout me semble bon, j'ai donc l'honneur de t'annoncer que TA FICHE EST VALIDÉE. Tu peux désormais réclamer des tas de liens ici et rp avec les gens. Au vu de l'ensemble de ta fiche, je serais pour te placer chez les DESERVING. Je te demanderai tout de même avant ça de recenser ton avatar là, ça évitera les jumeaux pas prévus. Puis voilà, on espère tous que tu te plairas longtemps sur GLG et que tu compteras parmi nos meilleurs membres (sait-on jamais). HAVE FUN AND ENJOY IT. |
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