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AVATARS © ALASKA

THEODORE MORIARTY-WINTERS.

NOM + il a deux noms : moriarty comme ses parents biologiques et winters comme ses parents adoptifs. au moins, pas de jaloux. PRÉNOMS + theodore. il a ouï dire qu'il avait un deuxième prénom, mais il ne le connaît pas et il s'en moque pas mal. SURNOM + on l'appelle généralement théo, c'est le plus simple et le plus classique. DATE ET LIEU DE NAISSANCE + il est né à adelaïde en australie, le jour de la fête des amoureux. ÂGE + il a vingt-et-un an et toutes ses dents. ORIGINES + c'est un australien pure souche. SITUATION SOCIALE + il a toujours été blindé aux as, et sa famille adoptive l'était aussi. jamais vous ne l'entendrez se plaindre que la vie est dure. en tout cas, pas financièrement parlant. SITUATION CIVILE + célibataire : récemment, il n'a pas vraiment pensé à tout ça. ETUDES/MÉTIER + il suit des études de littérature et travaille comme écrivain. CÉLÉBRITÉ + logan lerman.

Citation :

+ Es-tu du genre chanceux ?

Dans l’ensemble, je crois que oui. J’ai vécu quelque d’horrible, mais en dehors de ça j’ai toujours eu ce que je voulais. Enfin, tout dépend ce qu’on appelle chance. Je ne suis pas malchanceux dans le sens où il ne m’arrive pas grand-chose de négatif, et je m’en porte très bien ainsi. Jamais un piano n’est tombé du troisième étage quand je passais dans la rue, jamais je n’ai glissé sur une plaque de verglas en traversant la route … Il ne m’arrive que des bonnes choses. Comme si la vie cherchait étrangement à se faire pardonner.

+ Psychologiquement, t'es comment ?

elle

+ Quel est ton avis sur Adélaïde ?

Même si ça me rappelle certains souvenirs douloureux, je reste attaché à mes origines et j’adore cette ville que je ne quitterais pour rien au monde. Adélaïde, c’est la ville parfaite : on y trouve ce que l’on veut, c’est beau, j’y ai mes amis et il y a presque tout le temps du soleil. Ok c’est pas terrible comme raison, mais je vous assure que le beau temps influe énormément sur le moral. Il parait qu’on est plus heureux ici qu’en Russie, c’est bien la preuve ! Quoi qu’il en soit, Adelaïde j’y suis né et j’y mourrai, à moins d’aimer assez une femme pour m’en aller.

+ Dans la vie de tous les jours, qu'est-ce que tu fais ?

Je suis étudiant en littérature mais ça ne m’intéresse pas vraiment. Moi, ce qui m’intéresse, c’est écrire. Depuis près de dix ans je m’amuse à écrire des livres que j’offre ou que je détruis ensuite, et certains d’entre eux ont fini chez des éditeurs. J’écris sous un pseudo pour être plus tranquille, mais j’aime bien voir l’engouement que ça provoque parfois. Comme les lecteurs savent que je suis jeune, ils sont d’autant plus excités à l’idée de m’aider financièrement en achetant mes livres et je n’ai pas à me plaindre. Récemment j’hésite à signer sous mon vrai nom, mais comme je n’ai pas envie qu’on s’attarde sur ma vie personnelle, je ne sais pas trop. Les études donc, sont uniquement là pour combler les trous. Peut-être que je pourrais devenir prof à la fac un jour, je ne pense pas que ça me déplairait.

+ Ta famille et toi, ça roule ?

La question à ne pas poser. Je n’aime pas parler de ça. Mais bon, on peut dire que ça va. Ma famille d’accueil me soutient et m’apprécie, et je les apprécie aussi. Je n’habite plus chez eux mais ils m’invitent à manger tous les dimanches et j’y vais avec plaisir. Mon appartement n’est pas très loin du leur, et il m’arrive que j’aille les voir de temps à autre aussi, dans la semaine, quand je m’ennuie. Ma mère adoptive est une femme bienveillante qui passe son temps à m’ébouriffer les cheveux pour m’embêter, et mon père adoptif m’emmenait voir les match de foot, avant. Ma sœur adoptive, elle, est une vraie garce mais c’est la seule à me connaître vraiment. Je l’aime beaucoup, il ne faut pas croire.

+ Une phrase qui décrit ta vie ?

L'humanité souffre et je souffre avec elle

behind the computer.

PSEUDO/PRÉNOM + mon pseudo est alaska mais mon prénom justine. ÂGE + j'ai dix-huit ans depuis peu et je profite de ma majorité dignement ! COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? + grâce à un top-site je crois bien. QU'EN PENSEZ VOUS ? + j'aime mais vous le savez déjà, j'avais commenté le projet si je me rappelle bien ! FRÉQUENCE DE CONNEXION + quatre jours par semaine. AUTRE CHOSE ? + je veux des liens avec tout le monde !

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« Hé, je t’ai entendu crier, tu veux de la compagnie ? » La voix d’Ellys me fit sortir de ma torpeur et je sursautai brutalement. « Va-t’en ! » ordonnai-je d’une voix saccadée, haletant. Je me redressai dans mon lit pris ma tête dans mes mains. « Theodore, je … » Mais je la coupai tout aussi brusquement. « Dégage, Ellys ! Laisse-moi tranquille là, va te recoucher ! » La jeune fille frémit et répondit d’une voix douce, bien qu’elle soit au bord des larmes : « D’accord, désolée. Si tu veux, tu sais où me trouver. » Et elle referma la porte. J’écoutai ses pas s’éloigner rapidement dans le couloir et me rallongeai, fixant le plafond éclairé par la lune qui filtrait à travers la fenêtre restée ouverte. Ça faisait plusieurs mois que ça durait. Toutes les nuits, je me réveillai en sueur, en larmes, je réveillai toute la maison avec mes cris. Je soupçonnai fortement la famille Winters de regretter de m’avoir adopté, parce qu’à leur place j’aurais regretté aussi. Ils me donnaient de l’amour et se montraient bienveillants, et moi je leur faisais vivre un enfer. Ellys en était la première victime : cette fillette de mon âge aux beaux yeux bleus tentait désespérément de m’apprivoiser ; peine perdue, elle finissait toujours par se heurter à un mur. Ellys était une véritable garce, une pure et dure. Au collège, tous les garçons étaient à ses pieds et elle jouait avec leurs sentiments avant de les écraser. Quant aux filles, elle les critiquait comme elle respirait. Et malgré tout, elle tentait désespérément de me rendre heureux. J’avais compris son petit jeu depuis longtemps : cette pauvre fille avait la trouille de souffrir alors elle faisait souffrir les autres avant qu’on lui marche dessus. Voilà à peu près tout ce que je pouvais dire sur cette fille, cette parfaite inconnue qui du jour au lendemain était devenue ma sœur. Madame Winters était une femme généreuse, mais elle avait la fâcheuse habitude de me décoiffer et lécher son doigt avant de nettoyer les tâches sur mes joues. Et quand je repoussais sa main d’un air dégouté, elle me tenait fermement en grognant pour que je me laisse faire. Je finissais par soupirer et elle rigolait de bon cœur, ravie que je ne me débâte pas pour de bon. Quant à son mari, il était rarement présent. Il travaillait énormément et rentrait surtout le week-end. Ellys était persuadée qu’il trompait sa mère, mais jamais elle n’en eut la preuve. On allait voir les match de football ensemble car il était persuadé que ça me faisait plaisir. Moi, je m’en moquais complètement, mais il m’avait adopté alors je ne voulais pas le vexer.

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« Theo, viens voir ! Regarde la mer, c’est trop bizarre comme elle part loin ! » Je fronçai les sourcils et observai avec attention les vagues qui se retiraient au loin. Je tournai la tête vers mes parents et lançai : « C’est pas normal qu’elle parte aussi loin. J’ai vu ça en cours de biologie. » Mais tout ce que ma mère trouva à répondre, fut : « Arrête de faire ton petit génie Theo, et profite des vacances. » Confortablement installés sur leurs serviettes, mes parents lisaient et mon petit frère et ma petite sœur, des jumeaux, s’émerveillaient de ce phénomène naturel singulier. Je décidai d’insister malgré tout : « On pourrait rentrer ? C’est pas normal je vous dis ! » Ce fut mon père qui s’emmêla. « Mais Theo personne te retient, c’est pas parce que t’en as marre que tu dois gâcher les vacances de tout le monde ! Va à l’hôtel, et tu nous attends là-bas ! Nous, on rentre à dix-huit heures comme on l’avait prévu ! » J’avalai ma salive avec difficulté. « Ouais, dégage Theo ! » lança à ma sœur en gloussant. « Dis, Elizabeth ! » gronda ma mère. J’enfonçai mes mains dans les poches de mon maillot de bain et quittai la plage en traînant des pieds. Ce que j’ignorais à ce moment-là, c’est que je venais de faire la plus grosse erreur de ma vie. Près d’une heure plus tard, une alarme qui déchirait les tympans retentit et ce fut la panique. Dans la cohue générale, on m’entraîna dans les couloirs de l’hôtel jusqu’aux étages inférieurs et nous sortîmes sur le toit. C’est là que l’horreur se produisit : une vague géante déferla sur les côtes et emporta tout sur son passage. Livide, mes jambes ne me portèrent plus. Mon monde venait de s’écrouler. « Papa, maman ! Elizabeth, Jackson ! » hurlai-je, en larmes. Je tentai plusieurs fois de me jeter dans le vide pour aller les chercher, ne voulant pas croire qu’ils avaient pu être emportés. « Maman, papa ! Beth ! Jack ! » Des bras puissants me retenaient, me berçaient. « Ca va aller, ça va aller … » me répétait-on, mais les larmes qui coulaient dans mon cou me disaient tout autre chose. Une fillette s’accrochait à mon tee-shirt en regardant le spectacle d’un air choqué. « Ca va aller. » me dit-elle aussi, en plantant ses yeux bleus dans les miens. C’est ainsi que je perdis ma famille et rencontrai celle qui deviendrait ma sœur, Ellys Winters. C’était à Sumatra, le vingt-six décembre deux-mille quatre.

Les hélicoptères vinrent nous évacuer peu à peu. Monsieur Winters ne me lâcha pas, déclarant qu’à présent j’étais avec eux. Jusqu’à ce que des membres de ma famille viennent me chercher d’Australie, du moins. Mais cela n’arriva pas, car de la famille, je n’en avais pas. Mes parents étaient originaires d’Angleterre et des Etats-Unis, et je ne connaissais pas mes oncles et mes tantes. Il fut décidé que je serais envoyé en famille d’accueil à Adelaïde, avant d’être adopté. Les Winters, au courant de mon dossier, préférèrent écourter les formalités administratives en m’adoptant directement. « Pas besoin de le faire souffrir davantage, il est assez malheureux comme ça. » dit madame Winters à mon tuteur, qui sembla d’accord. Ils avaient une chambre de libre car leur premier enfant était mort durant l’accouchement et ils n’avaient pas eu le cœur de mettre Ellys ici. Mais moi, je m’en foutais. Plus rien n’avait d’importance. Les jours passant, je refusais de me nourrir, de parler. J’étais dans mon monde, et plus rien ne pouvait m’atteindre. Quand on essayait de me toucher je me mettais à crier et je repoussais, quand on me forçait à manger je m’enfuyais. Rien ne pouvait m’atteindre, sauf Ellys. Elle était la seule à oser m’approcher quand je m’énervais. Ses yeux bleus étaient si beaux que je me calmais dès que je les croisais. « Tu as le droit de pleurer, tu sais. Mais je ne pense pas que tes parents, ta sœur et ton frère voudraient que tu sois malheureux trop longtemps. » Si je m’en suis partiellement sorti, c’est grâce à elle. Nous n’avions que douze ans, et pourtant elle arrivait à trouver les mots justes. « J’aurais pu les sauver. Si j’avais insisté, ils m’auraient suivi … » Elle sourit avec tendresse et avança timidement sa main vers ma joue. « Tu as fait ce que tu as pu. Tu sais, beaucoup de gens sont morts … Il y en a plus de deux-cent mille. Est-ce que tu te rends compte ? On a de la chance d’avoir survécu … » Elle aussi avait envie de pleurer, de hurler, mais elle restait forte pour moi. Je crois qu’à ce moment-là j’aurais pu en tomber amoureux si je n’avais pas été malheureux. « J’aurais préféré mourir à leur place. » Elle retira sa main, l’air profondément triste. « Mais on ne se serait jamais connu. » Je serrai les dents, passablement énervé et meurtri. « C’est pas de ma faute si ton frère est mort à la naissance ! C’est pas moi ton frère, je serai jamais ton frère ! T’es heureuse parce que je comble un vide dans ta vie, t’es juste une égoïste ! » Criai-je, avant de claquer la porte au nez d’Ellys.

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J’ai commencé à écrire quand j’avais dix ans. Mais jusqu’alors, ce n’étaient que des petits histoires sans véritable but, écrites par pur ennui plus que par passion. Après cette épreuve, écrire devint ne nécessité. N’ayant personne à qui me confier et refusant toute aide extérieure, je décidai d’écrire ce qui s’était passé. Mon père adoptif tomba sur le livre que j’avais dissimulé soigneusement sous mes livres de cours et le lut sans mon consentement. Quand je demandai le soir, en rentrant du collège, si quelqu’un avait vu mon cahier, il déclara simplement qu’il l’avait envoyé à une maison d’édition. Ce fut la guerre à la maison pendant quarante-huit heures ; je m’enfermai davantage dans mon mutisme. Et l’après-midi du troisième jour, la maison d’édition appela pour nous informer qu’ils voulaient publier. Après ça, j’écrivis trois autres livres. Je trouvai un pseudo d’écrivain pour qu’on me laisse tranquille, et ma relation avec la famille Winters s’adoucit considérablement. Quoi qu’il arrive je serais malheureux et n’oublierais jamais, mais je devais avancer. Très patients, ils comprirent qu’ils ne remplaceraient jamais la famille Moriarty dans mon cœur, ma seule et véritable famille. Mais les Winters m’aidèrent à survivre dans ce monde bâtard dont j’étais l’enfant indésirable. Ellys leur posait même plus de problème que moi. Sublime, provocatrice et rebelle, elle rentrait tard la nuit, fumait, sortait avec des tas de garçons. Ce fut alors à moi de tenter de l’aider, puisqu’ils n’y arrivaient pas. Nous avions dix-sept ans, nous étions jeunes et immortels. Je suis entré dans sa chambre, elle était en larmes à sa fenêtre et son maquillage avait coulé sous ses yeux. « C’est une honte d’être vierge à mon âge, non ? » J’écarquillai les yeux et ne pus retenir un sourire. « T’es encore vierge, toi ? » Elle me foudroya du regard et se laissa tomber sur son lit. « Tu sais Ellys, t’as pas besoin d’être une catin et une peste pour plaire aux gens. Tes vrais amis, ils t’aimeront comme tu es. » Elle fondit en larmes pour la première fois devant moi et, me sentant redevable, je m’assis à ses côtés pour essuyer ses larmes. Je gardai le silence, respectant cet instant de faiblesse et de confiance qu’elle avait daigné m’accorder. « Tu te souviens ce que tu m’as dit quand tu es arrivé ? Que tu ne serais jamais mon frère ? » demanda-t-elle entre deux crises de larmes. J’acquiesçai, légèrement embarrassé de me rappeler cet épisode sombre de notre relation. « Alors si tu n’es pas mon frère, tu es un homme. Apprend-moi ce que c’est. » Je retirai ma main et reculai. « Non, je ne pe… » Mais ses lèvres se posèrent sur les miennes et ses bras s’enroulèrent autour de mon cou. Je tentai une nouvelle fois de l’écarter et finis par me laisser aller à mes envies. Personne ne pouvait résister à Ellys Winters.

« Tu n’es pas obligé de partir, Theo, tu sais. » dit madame Winters en souriant. Non je n’étais pas obligé. Mais j’avais vingt ans, et tout ce que je voulais, c’était prendre mon envol. Je les serrai dans mes bras longuement, les remerciai encore et encore pour tout ce qu’ils avaient fait pour moi et promis de venir manger tous les dimanches. Quand ce fut le tour d’Ellys, elle me souffla sa fumée de cigarette au visage et tourna les talons, avant d’aller s’enfermer dans sa chambre. Je souris un peu et quittai la maison. J’avais épluché les petits annonces à la recherche d’un ou d’une colocataire de mon âge, et après avoir rencontré plusieurs personnes, mon choix se porta rapidement sur cette fille. Eleanor, qui se faisait appeler Elea, était étrange. Ailleurs, fêtarde, elle méprisait les lois et suivait son cœur. Elle devint mon nouveau point de repère, et pas franchement le bon. Elle m’entraîna dans les soirées les plus douteuses, me fit rencontrer ses amis et son frère avec qui elle était en mauvais termes, me trimbala dans les concerts et festivals de rock de tout le pays, profitant de mon argent comme si il avait s’agit du sien. Je n’eus que peu de nouvelles d’Ellys, qui venait uniquement pour me crier dessus et critiquer Eleanor. « Elle a mauvaise influence sur toi, faut que tu partes ! » gueulait-elle, poings posés sur les hanches. « T’es jalouse ou quoi ? » lança un jour l’intéressée en sortant de la salle de bain uniquement enroulée dans une serviette. Ellys rougit jusqu’aux oreilles et quand Eleanor vint s’asseoir à côté de moi sur le canapé sans prendre la peine de ses changer, ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. « J’en ai rien à faire ! Mais je te préviens, si il est malheureux à cause de toi, je te tue ! » Et elle tourna encore les talons pour s’en aller. Je détestais qu’elle s’en aille, mon cœur se serrait à chaque fois. Parce que chaque fois, j’avais peur que ce soit la dernière fois que je le voyais. « Elle est tellement amoureuse de toi que ça dégouline par tous les pores de sa peau. Faut qu’elle fasse attention, son mascara va couler. » dit Eleanor en croisant les bras derrière sa tête. Je souris et secouai la tête. « Oh allez, détend-toi. » Elle s’assit à califourchon sur moi et ses lèvres se posèrent dans mon cou. Oui elle avait mauvaise influence sur moi, mais elle avait surtout une emprise indéniable et chaque jour à ses côtés ne faisait que renforcer ce lien qui me liait à elle.

Dernière édition par Theodore Moriarty-Winters le Ven 31 Mai - 20:38, édité 11 fois

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Omg Logan quoi. theodore ✽ someone like it hot. 3848485329

JE L'AIME CE GARS, BOUDIOU QU'EST-CE QUE JE L'AIME. theodore ✽ someone like it hot. 3606521559

So, j'exige un lien, et puis le pseudo quoi.. theodore ✽ someone like it hot. 2855703037

Bienvenue parmi nous, merci d'avoir suivi le projet. Bon courage pour ta fiche, contacte le staff en cas de besoin. I love you

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Et que dire de la jolie Benson ? theodore ✽ someone like it hot. 3705351915

Aucun problème pour le lien, ce sera avec grand plaisir ! Et merci beaucoup. I love you

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Bienvenue à ce super canon de la life et bon courage pour ta fiche theodore ✽ someone like it hot. 908221619

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Merci Maëva ! Shelley est OMFG. theodore ✽ someone like it hot. 3697880224

theodore ✽ someone like it hot. 3419343349

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OMG LERMAN réserve-moi un lien en tous cas, bienvenue parmi nous & fight pour ta fiche

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Avec plaisir la Gomez theodore ✽ someone like it hot. 3705351915

Merci beaucoup à toi !

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JE SUIS VENU, J'AI VU, J'AI VAINCU

et une fiche de validée, une theodore ✽ someone like it hot. 1868796748

Ton histoire est géniale. C'tout ce que j'avais à te dire. theodore ✽ someone like it hot. 1722324489

Quant au groupe que je t'ai choisi, dis-moi s'il te convient, parce que Theo a passé une épreuve compliquée et, sait-on jamais, tu veux peut-être aller chez les irregulars. theodore ✽ someone like it hot. 908221619

Tout me semble bon, j'ai donc l'honneur de t'annoncer que TA FICHE EST VALIDÉE. theodore ✽ someone like it hot. 3705351915

Tu peux désormais réclamer des tas de liens ici et rp avec les gens. theodore ✽ someone like it hot. 2340463640

Au vu de l'ensemble de ta fiche, tu as le choix entre les lucky ones. Je te demanderai tout de même avant ça de recenser ton avatar là, ça évitera les jumeaux pas prévus. theodore ✽ someone like it hot. 2894291590

theodore ✽ someone like it hot. 2894291590

Puis voilà, on espère tous que tu te plairas longtemps sur GLG et que tu compteras parmi nos meilleurs membres (sait-on jamais). theodore ✽ someone like it hot. 631359280