People don't change, they just find new ways to lie.

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AVATARS FRENCHADICTED

MAXINE LOUANNE, HAWKES

NOM + J'ai reçu le nom de famille de mon père, Hawkes. PRÉNOMS + Je me prénomme Maxine un mélange de Maxime et de Martine deux prénoms qu'aimaient mes parents, mon deuxième prénom est Louanne que je tiens de ma tante du côté de mon père. SURNOM(S) + La plupart des gens l’appellent Max, mais elle préfère qu'on l'appelle par son prénom. DATE ET LIEU DE NAISSANCE + 24 décembre, à Adelaïde, Australie. ÂGE + 21 ans, bientôt 22. ORIGINES + Uniquement Australiennes. SITUATION SOCIALE + Plutôt bonne, voir très bonne. SITUATION CIVILE + Célibataire ETUDES/MÉTIER + A travaillé un an pour la Croix Rouge après le lycée, actuellement étudiante en médecine en deuxième année. CÉLÉBRITÉ + Emilie Nereng

Citation :

+ Es-tu du genre chanceux/se ?

La chance ? Je ne crois pas à ça. Après tout, tout le monde a ce qu'il mérite, ce n'est pas une question de chance ou de malchance. J'ai juste beaucoup de mérite, je travaille plutôt bien, et c'est pour ça que je vis correctement, et grâce à mes parents également. La chance n'a rien à voir là-dedans. Par exemple, si plus tard j'ai une très belle vie, c'est parce que j'aurais travaillé pour, et la chance ne m'aura servi à rien. + Psychologiquement, t'es comment ?

Studieuse

Sarcastique

Altruiste

Impétueuse face à la provocation

Perfectionniste

Obstinée

Ordonnée

Rancunière

Observatrice

Indépendante

+ Quel est ton avis sur Adélaïde ?

C'est ma ville, la ville où je suis née, j'y ai vécu toute ma vie alors je l'adore forcément. Le soleil, la chaleur, c'est agréable et puis le paysage est magnifique, il faut bien se l'avouer ! Les gens sont plutôt sympathiques, mais ça, ce n'est pas forcément par rapport à la ville. Mais je suis heureuse d'habiter ici de nouveau. Je suis partie un an à l'étranger, et j'étais pressée de revenir même si j'ai adoré mon séjour en Europe. + Dans la vie de tous les jours, qu'est-ce que tu fais ?

Ma vie est assez simple, je dois l'avouer. Je consacre la plupart de mon temps à mes études, en effet, je suis étudiante en médecine, en deuxième année. Comme je souhaite devenir chirurgienne, je dois énormément travailler car l'école de médecine, ce n'est pas si simple que ça. Sinon, je passe du temps avec mes amis, je regarde la télévision ou bien je sors faire du shopping, tout simplement. + Ta famille et toi, ça roule ?

Je suis très proche de ma famille même si je ne vis plus avec mes parents, je les appelle souvent, tout comme ma sœur. Nous avons deux ans de différence et pourtant nous sommes très proches, c'est assez étrange d'ailleurs parce que toutes les personnes que je connais et qui ont des grandes sœurs, ne s'entendent pas avec celles-ci. Mais nous avons une relation très fusionnelle, et je l'aime beaucoup. Bien sur, lorsque nous étions adolescentes, il y avait des tensions entre nous, mais en grandissant, ça s'est calmé.+ Une phrase qui décrit ta vie ?

I read somewhere how important it is in life not necessarily to be strong but to feel strong.

behind the computer.

PSEUDO/PRÉNOM + unfaithful/Alexandra ÂGE + 14 ans, 15 le 7 août People don't change, they just find new ways to lie. 3397265170

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? + C'est mon bébé People don't change, they just find new ways to lie. 908221619

(et celui de Théa et de Pauline of course People don't change, they just find new ways to lie. 1008881068

) QU'EN PENSEZ VOUS ? + Il envoi du pâté People don't change, they just find new ways to lie. 2855703037

FRÉQUENCE DE CONNEXION + J'essaye de passer tous les jours, après tout dépend de mon emploi du temps tongue

AUTRE CHOSE ? + Je vous kifouille People don't change, they just find new ways to lie. 3419343349

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tout le monde la croit forte, sociable, alors qu'elle est fragile et un peu perdue dans ses contradictions de jeune femme.

CHAPTER ONE. DECEMBER 1992. Un sourire aux lèvres, elle pose la main sur son ventre rebondie, de son autre main, elle porte à ses lèvres une coupe de champagne. Ce n'est pas recommandé pour une femme enceinte, mais c'est le réveillon de Noël alors autant en profiter. De plus, c'est la première fois qu'elle boit de l'alcool depuis le début de sa grossesse. Du coin de l'œil, elle observe Anthéa, sa petite fille chérie qui a désormais deux ans, elle est adorable avec ses joues rebondies et ses cheveux blonds bouclés. Mais elle ne sera bientôt plus toute seule, elle aura une petite sœur très prochainement, normalement le 28 décembre. C'est alors qu'elle le sent, ça recommence comme la première fois, le liquide quitte son corps et se déverse le long de sa jambe. Elle repose brusquement son verre et agrippe la table. « Mon dieu... » Elle murmure ces mots, doucement. Ce n'est pas sa première grossesse, elle devrait être habituée mais ce n'est pas le cas. D'un ton plus sûre elle s'exclame : « Chéri ? Je crois que notre deuxième fille veut pointer le bout de son nez. » Son mari s'approche, il est le seul à pouvoir distinguer la peur dans les yeux de sa femme. Il la connait trop bien pour ne pas la déceler. (...) « Allez-y madame Hawkes, poussez encore. Un petit effort et votre petite fille sera là. » Tandis qu'un cri rauque émerge de la gorge de la jeune mère, elle respire par petits coups, comme elle l'a apprit il y a deux ans. Elle sera bientôt libérée après tout, ce n'est qu'un mauvais moment. (...) Voilà votre jolie petite fille madame. » Un sourire passe sur son visage fatigué tandis qu'elle serre sa fille dans le creux de son bras. Ses yeux sont fermés tandis qu'elle pleure, mais peu importe. C'est son bébé, sa fille.

CHAPTER TWO. JULY, 3 ans. « Dis, tu veux jouer avec moi ? » Un air espiègle sur le visage, je me dirige vers ma sœur en lui tendant mes poupées. J'aime beaucoup jouer avec ma sœur, même si elle est plus âgée que moi. La dernière fois, maman a dit qu'elle était contente qu'on s'entende si bien, mais moi je ne vois pas pourquoi on ne s'entendrait pas. « Oui, j'arrive ! » Lorsque l'on joue toutes les deux, en général c'est aux poupées, mais parfois on joue à papa-maman. Sauf qu'il n'y a pas de papa. On aurait bien aimé avoir un frère pour qu'il le joue. Mais tant pis, on est bien entre filles, les garçons c'est embêtant ! Enfin, c'est ce que dis Anthéa, alors je la crois vu qu'elle en connait beaucoup des garçons vu qu'elle va à l'école maintenant.

CHAPTER THREE. MAY, 8 ans. « Anthéa ? » « Tu vois pas que je suis au téléphone ? Sérieux, pourquoi il y a personne pour me laisser de l'intimité dans cette maison ? » Je ressors rapidement de la chambre, pour éviter d'attraper les foudres de ma sœur. Depuis qu'elle est entrée au collège, elle a radicalement changé, elle ne me considère plus comme avant. Maman et papa disent que ça va bientôt changer, quand elle aura pris ses marques mais je ne les crois pas, je ne les crois plus. J'aimerais bien retrouver ma grand sœur adorable, celle avec qui je m'amusais bien auparavant. Mais apparemment elle a disparut, elle est devenue une peste, qui ne passe plus que des moments avec ses supers copines et qui parle mal à ses parents. Je descends doucement les escaliers, en colère et triste en même temps, je ne vois pas pourquoi elle ne me considère plus comme avant. Après tout, moi je n'ai rien fait. Je m'approche de ma mère qui est assise sur le canapé et me blottit dans ses bras tout en murmurant. « Pourquoi est-ce qu'elle me déteste ? » Ma mère me caresse doucement les cheveux en me berçant. « Elle ne te déteste pas. C'est le début de l'adolescence, c'est dur à vivre pour elle, tu verras ça dans deux ans. » Je hausse les épaules, j'espère sincèrement que je ne serais pas comme Anthéa.

CHAPTER FOUR. MARCH, 15 ans. Me promenant dans la galerie commerciale, je remarque au loin dans une boutique, une très jolie robe. La robe parfaite que je cherche pour le bal du bal de fin d'année. Bien sur, il me reste du temps avant mai, cependant je préfère l'acheter en avance, histoire de ne pas me retrouver au dernier moment sans robe. D'un air décidé, j'entre dans la boutique et attrape la robe à ma taille puis me dirige vers les cabines d'essayage. J'enlève mes vêtements et enfile rapidement la robe, pas de problème pour la remonter et la refermer, mais devant le miroir, il y a quelque chose qui cloche. Mon ventre ressort étrangement, laissant apparaître un renflement au niveau de la robe. Je me stoppe, les yeux écarquillés. Je ne suis pas grosse, du moins je ne le pense pas, même si je prends rapidement du poids, j'ai toujours fais attention. Personne ne m'a jamais dit que j'étais si... gonflée. Je ne sais pas vraiment ce qui se passe en moi mais je compte bien changer ça, je veux être parfaite pour le bal, et peut importe ce que cela me coûte. (...) « Tu ne vas pas bien, tu te bouffe la santé et tu ne t'en rends même pas compte. » Je m'arrache à l'emprise de ma sœur et descends les escaliers, quatre à quatre. Voilà une semaine qu'elle me tape sur les nerfs, qu'elle me fait la morale parce qu'elle m'a surpris une fois en train de vider mon assiette dans la poubelle. Mais ce n'est pas de ma faute, je ne supporte plus la vision de la nourriture, depuis que j'ai commencé mon régime. « Tu pense que tu as le droit de me faire la morale ? Mais ouvre les yeux ! Tu ne m'as pas parlé pendant des années, depuis que tu es entrée au collège tu ne me parle plus, et tu crois que je vais t'écouter aujourd'hui ? » Je m'éloigne d'elle, tout en lui criant ces mots. Je la déteste vraiment, vraiment. Elle m'insupporte, ce n'est pas parce qu'elle est parfaite qu'elle doit me faire la morale. Anthéa s'approche de moi, plus doucement cette fois. « Maxine, tu te gâche la vie là. Tu es jolie, mince, intelligente. Pourquoi est-ce que tu fais ça ? » Je baisse la tête, le contact de son bras sur le mien me fait frissonner. « Je sais pas... Ça a complètement changé ma vision de moi-même, je le voulais pas. » Je hausse les épaules et baisse la tête, honteuse. Elle s'approche alors de moi et me serre dans ses bras, c'est notre premier contact de sœur depuis des années.

CHAPTER FIVE. AUGUST, 15 ans. Allongée sur mon lit, je me mets à écrire, plutôt rapidement : «Aujourd'hui, cela fait deux mois que j'ai repris une alimentation équilibrée. Anthéa m'a dit que ça me ferait du bien d'écrire, je la crois. Papa et maman étaient très inquiets, et les voir comme ça, ça me rongeait. Alors j'ai vu un psy et un médecin, ils m'ont aidés. Je ne suis pas encore totalement guérie, mais je suis en bonne voie. Avec Anthéa, ça va beaucoup mieux, je crois qu'elle regrette la façon dont elle m'a traité ces dernières années. Désormais, on parle beaucoup toutes les deux, et ça me fait beaucoup de bien. J'aime le fait que je peux compter sur elle, c'est peut-être ça qui me manquait, je n'en sais rien.
Les derniers mois à l’école ont été difficiles, je n’ai prévenu personne pour mes problèmes, parce que je ne voulais pas qu’ils aient pitiés de moi. Après tout je suis censée être Maxine Hawkes, tout le monde pense que je suis sure de moi, belle et populaire, je dois garder cette image. Ce soir, pour la première fois des vacances, je vais rejoindre Abi et Manon pour qu'on aille faire les magasins. J'appréhende un peu ça, mais ça va aller. Enfin je pense. »

CHAPTER SIX. DECEMBRE, 16 ans. Les médecins ont dit que j’étais guérie, que tout ça était terminé, mais il faut quand même que je fasse attention. Je suis plutôt contente, il n’y a aucune séquelle, et ma rentrée s’est bien passée. Je sors désormais avec Matthew, il joue au basket, il est brun aux yeux bleu et je l’aime beaucoup. Mais je ne suis pas sure d’être amoureuse de lui, en fait, je crois que je n’ai jamais été amoureuse. Bien sur, il m’attire, beaucoup d’ailleurs. Il est adorable et gentil, et puis tout le monde admire notre couple. Alors j’en profite, après tout peut-être que les sentiments naitront un peu plus tard. Anthéa vit toujours à Adélaïde, mais elle s’est mariée, et elle a acheté une maison avec son mari. On se voit souvent, nous avons retrouvé notre complicité, et j’en suis très heureuse. Au lycée, je ne suis pas ce qu’on peut appeler une élève modèle, je ne fais pas vraiment d’efforts pour travailler, je suis au minimum de mes capacités. Les professeurs me le font beaucoup remarquer, mais peut importe, je m’en fiche de ce qu’ils pensent.

CHAPTER SEVEN. FEBRUARY, 17 ans. « Hé, la brunasse là. » Je m’approche de ma cible, un sourire satisfait aux lèvres, elle semble avoir peur, pauvre petite chérie. « C’est toi qui a parlé à Matthew hier ? » Je sais très bien que c’est elle, mais je veux juste savoir si c’est une fille lâche ou pas. Elle acquiesce, et je la fixe longuement, réfléchissant à ce qu’elle pourrait avoir comme châtiment. C’est ma dernière année au lycée, j’en profite beaucoup, surtout depuis la rentrée. « Bon le moucheron. Je suis de bonne humeur aujourd’hui, t’as de la chance. Maintenant déguerpis. Mais je te préviens, si tu reparles à Matthew, je t’écraserais, de toute façon t’es pas son style. Trop… Sainte-nitouche. » Elle s’en va, apeurée tandis que je ris avec mes amies. Je suis trop jalouse, je le sais, mais je m’en fiche un peu, il n’a qu’à pas parler à des jolies filles. Cela fait deux ans que nous sortons ensemble, et je crois que je suis vraiment amoureuse de lui, je n’en sais rien. Tout le monde pense que nous sommes un couple libertin, mais en réalité, nous avons attendu un an avant notre première fois. Histoire d’être surs quoi. C’était génial, il est génial de toute façon. Mais je sais qu’après le lycée, on partira chacun de notre côté, alors je profite encore un peu de lui.

CHAPTER EIGHT. 18 ans. J’ai eu mon diplôme avec de bonnes, malgré ce que mes professeurs pensaient, et j’ai décidé de partir un an travailler pour la Croix Rouge. Personne ne s’était imaginé ça, mais j’ai vraiment décidé de le faire, pour me préparer à mes futures années de médecine. Oui, je souhaite faire médecine, je veux venir en aide aux gens, c’est ce que je sais mieux faire de toute façon. Avec Matthew, c’est fini, on est toujours en bons termes, mais il part faire ses études aux Etats-Unis. (…) Je suis enfin rentrée, c’était vraiment génial ! J’ai appris des tas de choses, je veux vraiment faire médecine, d’ailleurs les cours commencent bientôt. J’ai hâte d’y être. Bien sur, ma ville et ma famille m’a manqué, mais je suis de retour, je vais pouvoir profiter d’eux !

CHAPTER NINE. 21 ans. Aujourd’hui, je suis en deuxième année de médecine, et j’adore toujours autant ça, je vis avec Charline, et je suis toujours célibataire. Je suis plutôt contente de ma vie, elle est pas mal, même si mes études me prennent beaucoup de temps. Je suis toujours aussi proche de ma sœur, et maintenant je suis tata d'un petit Logan. Il est adorable, vraiment. Je n'ai pas vraiment envie de fonder une famille pour l'instant, je préfère me consacrer à mes études, mais qui sait ? Peut-être que je finirais pas trouver l'homme parfait. L'espoir fait vivre comme on dit.